Matières

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25 oct. 2005

J-19 - Roses, pivoines ou jonquilles...



En ce jour un peu gris (il tombe une petite bruine sur Paris) voici de quoi rehausser le moral des troupes! Un marché aux fleurs avec des fleurs... carrées! C'est normal... ou presque! Mais maintenant, depuis que vous me connaissez un peu mieux, vous vous y êtes certainement habitués.
Ce qui est bien, c'est que vous pouvez imaginer n'importe quelles fleurs... Celles que vous voulez... Aujourd'hui des roses, demain des pivoines ou encore des jonquilles... Après tout, c'est bien là tout l'intérêt d'un tableau. Chacun y entre et construit son imaginaire. Car un tableau appartient vraiment à celui qui le regarde. C'est par ce regard qu'il va prendre vie... C'est le sentiment que va y mettre le spectateur qui va donner toute sa force et son sens au travail. Car au-delà de ce que le peintre à voulu exprimer... ou tout simplement de ce qui est sorti de son couteau - car nous ne sommes que le médium par lequel s'expriment des forces qui souvent nous dépassent – c’est l’universalité des sentiments et des sensations que va tenter de capter, puis de restituer, le tableau.
A bientôt.

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